*STRESS* Quand on peut on veut  VRAI OU FAUX

Vous pensez que je me suis trompée dans le titre, que mes doigts ont fourché sur le clavier et que je voulais écrire « QUAND ON VEUT ON PEUT », eh bien non, vous avez bien lu dans le bon ordre, tout le monde nous rebat les oreilles en disant qu’il suffit de vouloir pour pouvoir

Si vous n’y arrivez pas c’est que que vous n’avez pas assez de volonté, vous ne faites pas assez d’efforts, c’est trop mou et ils en remettent une couche « ceux qui arrivent là où ils veulent sont des gens qui ont une grande volonté, la volonté les habite » etc etc... je vais vous  vous prouver dans cet article que C’EST QUAND ON PEUT QU’ON VEUT

je veux être un lion

je veux être un lion

ALORS, IL SUFFIT DE VOULOIR ET TOUT ARRIVE, C’EST ÇA ?

Si c’est le cas,  90 % (pour ne pas dire 95) des humains de la planète sont des faibles sans aucune volonté, qui procrastinent (autre mot à la mode) allègrement alors qu’il y en a 5/10 % qui EUX RÉUSSISSENT (les gagnants, les fortiches en volonté et ceux qui le valent bien…)

Et vous, VOUS VOUS RESTEZ DANS L’AUTOBUS des LOOSERS (ratés, pauvres types, pauvres filles in french), alors  qu’est-ce que vous attendez pour vous y mettre bande d’HOMO SAPIENS SANS VOLONTÉ, allez-y

 mettez-vous dans le crâne que c’est facile, le problème C’EST VOUS, la preuve il y a

des livres à la pelle qui vous démontrent pas A+ B comme c’est easy (facile in french)

des séminaires pour vous booster le popotin (en français dans le texte)

des vidéos entrainantes pour vous sortir de l’ornière dans laquelle vous vous vautrez lamentablement

des blogs qui ne vous parlent que de ça et vous vendent tout un tas de trucs pour y arriver

des gymnases qui vous entraînent pour devenir musclé ou svelte et élégant(e) mais bien sûr il faut s’armer de quoi ??? DE VOLONTÉ

et vous dans tout ça ?

BERNIQUE, NIET, NO POSSIBLE, NADA, PAS POSSIBLE vous n’y arrivez pas, vous avez beau vous achetez des bouquins, des vidéos et des CD

RIEN DU TOUT, vous continuez dans l’autobus des loosers (perdants, pauvres types, pauvres filles in french) avec tous ceux qui le valent bien mais qui ne le veulent pas,

ET

vous continuez à vous ronger les ongles,

à vous prendre un petit/grand verre devant la télé parce que vous n’avez pas de nana/jules,

à vous morfondre en lisant un roman à l’eau de rose avec des héros QUI EUX VEULENT ET PEUVENT et se trouvent des supers nanas/supers mecs en claquant des doigts …

pas comme vous,  pauvres noix qui péniblement sur la route pleine d’embûches n’arrivez pas à arrêter de fumer, de manger ou de picoler parce que

vous avez une volonté de petit pois et que:

  • vous êtes vraiment nul, nulle
  • bon à rien, bonne à rien,
  • incapable
  • sans volonté,
  • une pauvre fille/un pauvre type qui n’arrivera jamais à rien
  • un pauvre mec qui restera devant sa télé pour voir les matchs de foot et rêver devant les supers champions à la volonté en acier inoxydable qui trouvent des top-models DI-VINS juste en leur jetant un regard à la Georges (vous savez le beau mec qui vend du café)

car il existe des ÊTRES BIEN, DES ÊTRES À LA VOLONTÉ D’ACIER, DES GAGNANTS, DES ÊTRES qui EUX arrivent à leurs fins

 

VOULOIR C'EST POUVOIR ?

VOULOIR C’EST POUVOIR ?

 

et qui vous disent « c’est simple YAKA faire ceci ou YAKAPAS faire cela » (une sacrée tribu entre parenthèses y’en a partout de ces lascars et sur tous les continents …)

STOP, n’en jetez plus, j’en ai marre d’entendre tous les supers sauveurs de la terre vous dire, nous dire QUE C’EST VOTRE FAUTE, VOTRE TRÈS GRANDE FAUTE etc… si vous n’arrivez pas à atteindre vos objectifs.

Pour vous remonter le moral,  je vous avoue que je fais partie de ces pauvres filles sans volonté,  celles qui galèrent, celles qui le valent bien (ah oui) mais qui ne réussissent pas à atteindre leur objectif moi c’est pour maigrir et

vous c’est peut-être pour trouver l’amour, un job, arrêter de fumer ou de picoler ou n’importe quoi d’autre que vous voulez vraiment, vraiment être ou faire mais vous n’y arrivez pas parce que vous avez une volonté de mollusque (disent les YAKAS …)

 

DONC PAS DE PANIQUE LES AMIS C’EST QUAND ON PEUT QU’ON VEUT et que tous les donneurs de leçons de la planète arrêtent de nous casser les pieds avec leur conseils et qui nous stressent tous ces YAKAS et YAKAPAS

 

POURQUOI C’EST DANS CE SENS ET PAS DANS L’AUTRE .?

S’il s’agissait juste d’une question de volonté tout le monde serait mince, riche, sobre et avec un job en or, (ce qui, franchement, ne serait pas plus mal) alors pourquoi n’est-ce pas le cas ?

Parce que la volonté n’est pas suffisante, elle est nécessaire bien sûr, je ne suis pas en train de dire du mal de ceux qui ont de la volonté (dont je fais partie d’ailleurs) mais quand quelque chose est juste pour vous, quand vous êtes en paix là à l’intérieur aec votre objectif, quand il y a adéquation entre votre objectif et votre âme,  vous obtiendrez ce que vous voulez ?

  • Inutile de vous auto-flageller et de rester sur le bord de la route ou dans le fameux autobus (des loosers) en vous disant que vous n’y arriverez pas ou
  • que vous êtes le roi ou la reine des incapables ou des nouilles car quand ce qui vous voulez atteindre est JUSTE POUR VOUS, quand dans votre inconscient il n’y a pas conflit d’intérêts ça marchera comme sur des roulettes et vous atteindrez vos objectifs

 

OK JUNG MAIS COMMENT C’EST-Y QU’ON VOIT le conflit d’intérêts ?

Si vous essayez depuis des lustres d’arrêter de fumer mais vous n’y arrivez pas

Si vous essayez de maigrir (suivez mon regard …) et vous n’y arrivez pas
Si vous souhaitez quitter votre bureau plus tôt chez vous mais vous n’y arrivez ,
Si vous souhaitez vraiment vous mettre à l’anglais mais vous n’y arrivez pas, etc ..

Reprenons dans l’ordre

 

vouloir ou pouvoir

vouloir ou pouvoir ?

Si vous n’arrivez pas à arrêter de fumer

  • c’est peut-être parce que vous avez peur de grossir, ou
  • fumer vous donne une contenance parce que vous manquez de confiance en vous ou
  • parce que vous avez peur de ne plus être comme vos copains ou
  • parce que tout le monde fume chez vous et vous ne voulez pas être différent ou
  • pour toute autre raison tout aussi valable

Si vous n’arrivez pas à maigrir

  • parce que ces kg vous protège de quelque chose (mon cas) ou
  • parce que tout le monde dans la famille est grassouillet et vous ne voulez pas être différent(e) ou
  • parce que vous adorez faire la cuisine et avez peur de ne plus pouvoir cuisiner et recevoir vos amis ou
  • parce que vous votre mari:femme vous aime comme ça et avez peur que ce ne soit plus pareil une fois svelte ou
  • pour toute autre raison tout aussi valable

Si vous n’arrivez pas à quitter votre bureau plus tôt

  • c’est peut-être parce que vous avez peur de vous affirmer et d’être viré/ é si vous partez à l’heure ou
  • vous ne vous entendez plus avec votre moitié alors vous prenez le travail comme alibi pour ne pas à supporter les discussions ou
  • parce que vous aimeriez vraiment être enfin reconnu(e) e grâce à cet effort de travail continu ou
  • pour toute autre raison tout aussi valable

Si vous n’arrivez pas à speaker anglais

  • c’est peut-être parce que ça ne vous sert à rien et que vous perdez votre temps ou
  • parce que tout simplement vous avez mieux à faire ou
  • parce que vous n’aimez pas ça du tout mais vous vous forcez à le faire alors que vous aimeriez passer votre temps à apprendre la peinture ou
  • pour toute autre raison aussi valable

Qu’est-ce que vous voyez dans tous ces cas ?

C’est que consciemment VOUS VOULEZ mais INCONSCIEMMENT ça freine, des freins qui VOUS PROTÈGENT et un jour,  quand ce conflit d’intérêts sera résolu, alors VOUS VOUDREZ ET VOUS POURREZ

ACCEPTEZ D’ABORD la situation et

TROUVEZ ensuite ce qui bloque et vous pourrez y arriver,

POSEZ-VOUS les bonnes questions sans vous auto-flageller en étant vraiment aimable avec la partie de vous qui freine car elle vous protège (ça je pense que vous l’avez tous compris)

Et dites-vous aussi que vous pouvez avoir une énorme volonté pour certaines choses et pas pour d’autres et cela n’enlève rien à votre valeur, simplement vous n’êtes pas prêt(e) à ce moment précis mais vous le serez peut-être dans quelque temps

 

exercicesEXERCICE : Rappelez-vous une situation de votre vie où vous avez fait preuve de volonté, une volonté en acier inoxydable et vous avez réussi à atteindre ce que vous vouliez.

Ce peut-être un petit objectif comme réussir à dire à vos parents que vous n’alliez plus dîner chez eux tous les mercredis soirs ou téléphoner à la petit brune/blonde du 5e alors que vous mouriez de trouille de le faire et sentez à l’intérieur de vous la satisfaction du « devoir accompli »

Vous voyez que vous savez faire preuve de volonté !

 

Alors, cette semaine commencent les cadeaux des anniversaires (15′ de consultation gratuite sur le sujet de votre choix) du 26 mars au 17 avril

Je tirerai donc au sort 2 personnes qui ont laissé des commentaires détaillés à la suite de cet article. Vous pouvez parler de vos expériences personnelles ou dire ce que cet article éveille en vous

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36 commentaires
  1. Il est amusant et plaisant à lire, cet article.
    Moi, quand j’y repense, j’ai toujours fait preuve de volonté pour tout ce qui me tenait à coeur : faire le métier que je voulais, adopter deux enfants, beaucoup voyager, être autonome et libre, écrire des pavés historiques, habiter dans une maison en bois… Dans l’ensemble, j’ai réalité quasiment tous mes rêves et j’ai éprouvé le sentiment du « devoir accompli ».
    Mais depuis la mort de mon mari, j’ai pris 10 kg qui sont comme une marque au fer rouge sur mon front. Et je n’arrive pas à trouver la volonté de les faire disparaître. Du coup, je me sens moche, je m’habille comme un sac, avec toujours l’échéance du printemps qui m’obligera à enlever les pelures de vêtements qui « cachent la misère ». Et là, c’est le stress… La période arrive, d’ailleurs et chaque jour, je me dis en me levant le matin : « aujourd’hui, tu prends le taureau par les cornes et tu t’y mets… il te reste 10/9/8/7/6/5… etc, semaines pour perdre du poids ». Et je m’empiffre avec toujours une bonne excuse : ne pas gâcher, finir les restes… Je m’en veux, je me déteste, mais je n’y arrive pas. Je comble un vide, ça c’est évident. Et pourtant j’en suis capable, je le sais, mais pour le moment, la volonté me fait cruellement défaut et c’est au-dessus de mes force d’aller contre moi-même.
    Si vous avez un tuyau, franchement, je suis preneuse !… Je me suis donné l’échéance du 16 mai. Je voulais aller au « dîner des optimistes », mais dans l’état actuel des choses, il n’en est pas question. Je ressemble à une tour et je n’ai rien à me mettre !…
    Lol !
    A bientôt.
    B.

  2. Je me suis régalé à lire cet article.

    La volonté est un de mes moteurs, mais, tu as raison, elle est un élément d’un tout.

    Elle est aussi à géométrie variable car on peut être inflexible pour une chose et plus souple pour une autre, n’est-ce pas Sylviane (une petite bouffe, un verre de vin…euh… deux verres…. bon allez, trois et c’est tout… )

    Bref, inverser la proposition vue des milliers de fois, On veut donc on peut est une très bonne idée.
    D’autant qu’il y manquait l’indispensable… Agir.

    In fine, nous voici équipés pour la route.
    Non seulement, on veut, on peut, et on agit mais désormais on peut, donc on veut et on obtient.

    Pfff…. ca s’arrose,
    Patron…. un bon Bordeaux svp.

    A ta santé Sylviane.(toi tu as le Porto)

  3. Merci Sylviane de cette excellente analyse.
    Je vais me souvenir de la leçon de Lise Bourbeau que je trouve très pertinente. Je n’avais jamais pensé les choses comme ça, évidemment.
    Et oui, pour moi, c’est tragique d’avoir 10 kg de trop. Mon regard sur moi est sans concession et je déteste l’image que me renvoie actuellement le miroir. Donc, je DOIS renoncer à la facilité des fringues trop grandes, et de l’invisibilité.
    Je pense que ces dernières années, je me suis oubliée, dissimulée, rendue invisible parce que je ne pensais qu’au bien-être de mes enfants. Je voulais qu’ils avancent et qu’ils soient équilibrés autant que possible. Aujourd’hui, ils vont plutôt bien, et je m’interroge sur mon avenir. Donc, sur l’image que je veux donner à présent, celle de moi. Vous avez raison, le temps est venu de (re)vivre !…
    À bientôt et merci.
    B.

  4. J’adore! Merci Sylviane 🙂
    Je partage le même point de vue avec d’autres mots et, comme il n’y a pas de hasard, je révisais hier soir mon chapitre à ce sujet avec l’exemple du bureau lol.
    Et j’aime ton petit exercice, j’ajouterai que de s’en souvenir permet aussi d’enregistrer cette énergie et de puiser dedans lorsque nous en avons besoin. Et on peut ainsi sauvegarder diverses énergies pour le futur: joie, volonté, confiance… se replonger dedans et s’en servir au moment opportun.

    Porte-toi bien 😉

  5. C’est en travaillant sur la généalogie que je comprends mieux mes cordes invisibles. Qu’importe la volonté si nous ne comprenons pas le « programme » familial dans lequel nous nous incarnons me semble t-il.
    Dans chaque généalogie, je comprends que les femmes ont été des « objets » et non « sujet » dans la vie de leur mari, et de leur vie. Qu’il a fallu 7 générations de femmes au foyer avant que la génération de nos parents s’affranchisse de leurs parents (et encore : s’ ils sont les derniers nés de la fratrie, c’est plus simple pour eux) alors qu’en revanche, je suis sous la coupe des mémoires des aïnés qui sont dévoués à la famille et au foyer).Il n’y a pas si longtemps de ça, les aïnés et leurs parents vivaient ensemble.

    Aujourd’hui, le mariage n’est plus indissoluble, les femmes ont accédé au vote, à la contraception, à l’avortement et disposent de leur corps âme et esprit.

    L’homosexualité est plus ou moins acceptée, alors qu’avant, les homosexuels, les filles-mères et les célibataires étaient plutôt mal vus, souvent répudiés.C’est encore le cas, et nous sommes en 2014, en France.

    Quand bien même, nous nous croyons libres, il y a toutes ces mémoires en plus de celles des épreuves de l’enfance, qui nous rattrapent à des âges différents.

    Dire que « vouloir c’est pouvoir » et blablater sans cesse sur « l’abaissement de l’égo », « trop d’égo »…l’extérieur a toujours les bonnes réponses, mais la voix intérieure en soi, demande le silence. Pause, calme, silence…

    Il faut être fort « psychiquement » pour surpasser ces cordes qui se manifestent par l’extérieur, pour se frayer un chemin parmi les ronces, ne pas avoir peur d’être entaillé. Les places sont chères surtout, au niveau de l’emploi.

    Parfois, je me dis qu’ILS ont gagné les rois du « Je veux je peux », en décimant sans aucune morale, par la manipulation, le harcèlement moral et/ou sexuel, les gens vulnérables et faibles dont je fais partie. Par la force, ils écrasent tout sur leur passage. Peut-être qu’il vaut mieux leur laisser cette place et les laisser couler dans leur navire au lieu de s’accrocher en vain à ces illusions.

    C’est peut-être celà le lacher prise.
    Accepter qu’il y a deux chemins, celui des « je veux je peux »
    et ceux qui font confiance en la vie, se laissent guider par les forces de la vie, qui voguent silencieusement, discrètement vers leur destinée future, bien au-delà ce ce qu’ils auraient pu imaginer.

    Faire confiance en la vie, lacher prise.
    Ne rien forcer, tout est là, tout est en place.
    Accepter que…nous sommes passager d’une barque…qui elle seule connaît le chemin…je est la rame qui donne l’impulsion, la vie les vagues….
    etc…

  6. Merci de votre humour et de ce regard décalé sur nos freins à la réussite. Dans mes accompagnements je le mets en lumière sous le nom de «bénéfice à ne pas réussir» et a bien y regarder ils sont parfois nombreux…
    Merci pour ces blogs et vie générosité.

  7. Bonjour Sylviane
    J’ai beaucoup ri en lisant cet article dans lequel j’ai retrouvé un grand nombre de mes caractéristiques ; depuis quelque temps , jai arrêté de me battre  » pour atteindre l’inaccessible étoile  » ; je laisse faire la vie et depuis je me sens beaucoup mieux , plus sereine ; il m’ arrive même des surprises agréables !

    Amitiés

    Janine

  8. Bonjour Sylviane, j’ai arrêter de me battre.
    Maintenant j’essaye des choses et je laisse la Vie décider si c’est le moment ou pas.
    Ca me convient parfaitement.

    Zenie

  9. Bonjour, j’aime beaucoup cet article qui déculpabilise…
    quelque fois je réussis beaucoup, quelque fois je rate… l’important est de s’aimer comme ça.
    Pour moi, l’important est de s’aimer : c’est la base de tout.
    Sourire est aussi très important, garder le sourire. Ho’oponopono : le plus souvent possible, toujours.
    Mon plan S à moi : Sourire, m’aimer.

    Mon dernier acte de volonté : je relance une cliente avec un gros marché à la clé, j’ai le trac, j’ai besoin de ce chantier pour vivre. La réponse est négative. Je suis déçue, pourtant je suis fière car j’ai osé la recontacter pour avoir la réponse. Alors je me dis si c’est pas ce chantier c’est qu’il y a mieux pour moi.
    Je m’aime donc je suis.
    Karine

  10. bonsoir !!!
    alors magnifique article ….mais me dévoiler et raconter MA vie
    c’est pas encore facile !!! mais je ne compte pas parmi les joueurs
    bonne soirée et merci ! bizzzz edith

  11. Bonjour Sylviane,
    Ce n’est pas moi qui vais te contredire.
    Je n’ai pas dormi quasiment pendant 50 ans
    donc je sais que ce n’est pas une question de
    volonté mais plutôt de bénéfices secondaires.
    Ce qu’on cherche à éliminer en fait nous protége
    et le cerveau pense nous rendre service selon ses critères.
    Etudier de près les enjeux inconscients aide à résoudre
    les problèmes. Mais c’est surtout la douceur, l’affection et l’attention aux blocages qui fait qu’on se détend.
    J’ai essayé tous les remèdes de la terre mais mon sommeil
    a fini par s’améliorer au fil du temps et surtout quand j’ai
    arrêté d’en faire un problème et que j’en ai fait un chemin.

  12. Bonjour Sylviane,

    Toujours le punch pour nous faire rire… Rire de nous, j’entends.

    Pour comprendre comment fonctionne cette foutue volonté, il n’y a rien de telle que l’expérience de vie. Cela veut dire avoir acquis une maturité suffisante pour comprendre comment fonctionne le mental.

    Enrobage du corps… C’est quoi ? Ah, les poignées d’amour acquises au fil du temps pour se protéger de ce qui nous a blessé…. Je connais et je sais pourquoi, en ce qui me concerne, carapace contre les indésirables… Bon oui, le temps passe mais le marquage au fer rouge reste.

    J’en reviens à la volonté : voulant tellement changer d’horizon, je me suis accrochée comme une moule à son rocher à un rêve : reprendre des études, voilà c’est dit et fait na… Le résultat ? Ben j’ai réussie à passer des concours et me voilà dans le bain dans un autre univers. Il fait bon dans cette piscine !

    De rien, me voici cadre.. Quoi ? Comment t’as fait ? Ben ma volonté m’a portée tellement tellement je le voulait ! Collante le dame, je vous le dis ! Tellement collante qu’elle s’est accrochée pour ne plus décrocher, je vous le dis.

    Me reviens une autre anecdote : à la recherche d’un appartement, au bout de trois mois de recherches infructueuses, voici que je tombe sur la perle juste à temps, je commençais à être désespérée… Ma volonté mise en œuvre à fait que la propriétaire de cet appartement tant convoité par mes soins m’a dit à l’époque texto : « Vous avez tellement insisté, que je ne pouvais faire autrement que de vous accepter ».

    C’est le cas de le dire que quand on veut quelque chose, étonnant non ? Et bien on l’obtient !
    Mais comme le dit Zénie, la vie décide, je suis bien d’accord mais en même temps, lui donner un coup de pouce par notre volonté ne fait pas de mal. C’est comme si la vie nous mettait à l’épreuve sur nos véritables désirs.

    Bel article nous poussant à réfléchir sur nos véritables motivations du quand on peut on veut et tout le reste… 😉

    Hélène

  13. Bonjour Sylviane,

    Waouw! j’adoooore. C’est toute ma philosophie.
    S’obliger à faire les choses contre son gré, en se forçant, entraîne des frustrations, que l’on finit par combler en retombant dans ce que l’on veut changer.
    Les « faucons », « yakas », et autre « jeu d’oie », ne sont que l’écho de la voix de papa, maman et tous les « éducateurs » ou conseillers qui ont jalonné notre existence.
    Alors depuis cette prise de conscience, j’applique le « je me donne le droit » (de Lise Bourbeau… et oui…) et les choses se passent de façon beaucoup plus fluide et légère.
    Merci encore pour tes précieux conseils.
    Marie-Jo

  14. merci Sylvianne, j’adore ton humour, comme on dit les conseilleurs sont pas les payeurs, et ceux-ce qui disent yaka- yapaka, ne sont pas dans ton Soi, le plus grand conseilleur c’est ton centre celui que tu arrives à retrouver, c’est lui le guide, ton âme quand tu te rappelle, qui te détermine ,ho’oponopono ça marche pour se relier à ton identité intrinsèque car tu ouvres à nouveau la porte d’amour de ton enfant intérieur ESSENTIEL et que tu sais que tu es aussi la Mère et le Père la Sainte trinité

  15. Bonjour Sylviane,

    Très profondément vraie ta phrase, c’est quand on peut qu’on veut enfin.
    Et l’appel à la volonté a fait beaucoup, beaucoup de mal.
    Comme si la création par exemple ou l’inspiration en général répondait à la volonté. C’est hors-sujet.
    Les choses doivent venir d’elles-mêmes.
    Cela passe par d’autres voies.

    Je vais en plus retenir la liste de formules succulentes qui commence avec « se booster le popotin » !
    Merci pour la rigolade.

    Amitiés.
    Marie.

  16. Bonjour Sylviane,

    J’aurais plein de choses à dire sur la volonté. Pour ma part, j’en ai énormément pour des choses que je n’aime pas et pas assez pour des choses que j’aimerais atteindre. C’est un genre de résilience pour les mauvaises choses, un peu comme si je m’auto-flagellais, pour emprunter ton expression.

    C’est tellement étonnant de ma part, mais je suis en train de changer. J’apprends petit à petit l’amour inconditionnel pour la personne la plus importante dans ma vie : moi-même!

    Sur certains points, je me suis toujours dit que je mérite le meilleur et je m’offre le meilleur, pour ma santé notamment. Je ne lésine pas devant le prix de produits destinés à améliorer ma santé.

    Sur certains autres points, c’est plus difficile de garder le cap pour arriver à ce que je veux, mais je comprends aussi que la volonté seule n’arrive pas toujours à un résultat. Je l’ai entendu dans un audio pas plus tard que la semaine dernière.

    Le gars qui disait cela est l’éditeur d’un magazine à succès aux USA. La volonté seule c’est ce qui fait qu’on ne tient pas les résolutions du Jour de l’an, par exemple. Il donnait un exemple très concret et facile à comprendre :

    Si je mets une planche de bois par terre de 20cm de large et de 10 mètres de long et que je vous demande de la traverser pour la somme de 20 euros, vous allez le faire sans besoin de volonté.

    Maintenant, si je mets cette même planche de bois en haut de deux édifices de 10 étages pour faire un pont entre ces deux édifices et que je vous demande de la traverser pour 20 euros, allez-vous le faire? No fu… way!

    La volonté n’est pas suffisante, même à 1000 euros ou plus.

    Maintenant, si votre enfant se trouve à l’autre bout de la planche sur l’autre édifice et que cet édifice est en flammes, allez-vous marcher sur cette planche pour aller chercher votre enfant? La question ne se pose même pas pour un parent digne de ce nom, même à zéro euro.

    Sa conclusion était la suivante : la volonté ne suffit pas. Il faut avoir un pourquoi solide lorsqu’on décide quelque chose et ce pourquoi doit être assez fort pour continuer à avancer dans la bonne direction, ce qui rejoint quand même ce que tu expliques.

    Mais il y a des mais.

    Autre chose que j’ai vu dernièrement à la télé, justement au sujet du poids, qui est un défi pour toi. J’ai été touchée par cette jeune femme de 23 ans toute souriante qui pesait 155kg il y a deux ans. Elle était maintenant rendue à moins de 90kg et continuait sa «descente».

    Je vous épargne le récit dégueulasse de ce qu’elle mangeait. Elle l’a raconté.

    Elle a aussi dit qu’elle n’avait jamais manqué d’amour de la part de ses parents, qu’elle avait eu une enfance heureuse, que ses parents n’étaient pas obèses, pas plus que ses frères et soeurs (je ne sais plus combien ils étaient – ça n’a pas d’importance), que ses parents tentaient de l’aider à maigrir, etc.

    Un jour, ou plutôt une nuit, elle s’est réveillée avec sa boisson gazeuse renversée sur elle dans son lit (et autres détails dégueulasses) et elle a décidé à ce moment-là et je cite :

    «J’ai décidé d’arrêter d’être grosse».

    Le lendemain, elle est allée au gym, a vidé son garde-manger et a tout donné ce qu’elle avait à un itinérant, a changé ses habitudes alimentaires, s’entraîne encore et toujours et a écrit un livre qui a été publié dernièrement au Québec : «Le jour où j’ai décidé d’arrêter d’être grosse».

    Voilà, ça me tire des larmes quand je pense à cette femme, même si je n’ai jamais eu à mener ce combat. Cette jeune femme a toute mon admiration.

    Ah! oui! c’est plus facile pour certaines personnes de se laisser aller, d’invoquer le «lâcher prise», qui a tellement le dos large, comme si ces personnes étaient tout simplement sur un radeau, sans rames, à se laisser aller là où la vie les mènera sans prendre de décisions, contrairement à Mylène Paquette qui a ramé dans son embarcation tellement petite pour l’exploit surhumain qu’elle a accompli, soit la traversée de l’Atlantique Nord en solitaire, et qui avait la phobie de l’eau!!! Une autre femme qui a toute mon admiration!

    J’ai eu la chance de les rencontrer en vrai, Mylène et son Hermel, la fin de semaine dernière.

    Il y a de ces gens qui ont du courage, de la volonté (peu importe le mot) de la détermination et pour lesquels, j’ai une admiration sans borne.

    Bon courage à tous, peu importe ce que vous voulez atteindre.

    Je m’arrête ici, finalement…

    Amicalement,

    Sco!

  17. J’adore! C’est bêtes que tu n’ai pas écrit tout ça en anglais, j’aurais adoré faire passer à mes clientes truffées de blocages en tous genres sur lesquelles on passe des heures à travailler…
    Quand on additionne les blocages issus de la génétiques, de nos vies antérieures, de notre éducation et ceux qu’on s’impose pour faire partie de la meute, ça fait beaucoup! Quand il faut en plus vouloir pour pouvoir…ça ressemble à mission impossible!

  18. Bonjour Sylviane,
    Super ! C’est exactement ça, l’adage remis à l’endroit. Facile de parler de coup de pied au c…, de remue-toi le popotin, les yakas et aussi ! les faucons (faut qu’on…). Quand on ne peut pas…
    Je sais de quoi tu parles. Très bien, en ce moment. Mais il me semble que mon potentiel remonte, tout doucement et les désirs pointent leur nez.
    Très logique tout ça, vu par ta lorgnette décoiffante.
    Merci, Sylviane et à bientôt !

  19. Bonjour Sylviane,
    Super ! C’est exactement ça, l’adage remis à l’endroit. Facile de parler de coup de pied au c…, de remue-toi le popotin, les yakas et aussi ! les faucons (faut qu’on…). Quand on ne peut pas…
    Je sais de quoi tu parles. Très bien, en ce moment. Mais il me semble que mon potentiel remonte, tout doucement et les désirs pointent leur nez.
    Très logique tout ça, vu par ta lorgnette décoiffante.
    Merci, Sylviane et à bientôt !

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